La Méthode Kousmine

Extrait du livre « La Méthode Kousmine », de l’Association Médicale Kousmine
Par le Dr Philippe-Gaston BESSON

Il est curieux de constater que le monde médical occidental s’est vu confronté aux cours des derniers siècles à des maladies bien variées dans leurs formes et leurs aspects, mais ayant toutes en commun un rapport direct avec une baisse générale et progressive de l’immunité de l’homme.
L’évolution des maladies dues aux parasites et aux bacilles (syphilis, lèpre et tuberculose principalement), puis celles des maladies causées par des bactéries (pneumonie, infections diverses…) a été considérablement influencée par la découverte des antibiotiques.

Ensuite, comme une conséquence de l’évolution de la civilisation, le cancer et les maladies psychiques se sont plus largement développés. Ces deux maladie diffèrent des précédentes dans le sens où elles ne sont pas contagieuses, et il a fallu mettre au point pour répondre à leur développement des méthodes thérapeutiques plus agressives (chimiothérapie anti-tumorale, radiothérapie pour la première, neuroleptiques et psychotropes pour les secondes).
En cette fin de siècle apparaissent de nouvelles maladies liées aux virus et, se développant parallèlement, des maladies dites « de système » : les maladies auto-immunes. Les unes et les autres sont vraisemblablement liées. Cet état de fait est le reflet d’une baisse générale de l’immunité des races civilisées.

Si les thérapeutiques ont été très efficaces, et presque radicales pour les maladies infectieuses, elles le sont beaucoup moins pour le cancer et les maladies psychiques, ne pouvant être que palliatives à défaut de curatives. Et les remèdes font presque complètement défaut dans le troisième cas.
Tout se passe comme si les traitements proposés actuellement étaient insuffisants, incomplets ! Il semble que l’on doive en plus faire appel aux propres forces de guérison de l’organisme, par l’intermédiaire de traitements dits « immuno-modulants », qui stimuleront ces forces. Mais pour ce faire, il est nécessaire que l’organisme puisse trouver en lui la capacité de répondre aux sollicitations immunitaires des traitements. (On ne fait pas avancer une voiture qui n’a plus d’essence, même si on appuie à fond sur l’accélérateur… !) Or l’organisme de la plupart d’entre nous s’avère incapable de répondre d’emblée correctement à une quelconque stimulation faisant appel à ces forces. Envisager uniquement la maladie en tant que telle sans prendre en compte l’organisme lui-même dans sa globalité, pour l’aider à retrouver la force de lutter contre la maladie, est souvent peu efficace lorsqu’on aborde le traitement des pathologies graves et chroniques.

Un traitement expérimenté depuis cinquante ans
Il se trouve que depuis 50 ans, un médecin applique à ses patients un traitement de base qui vise à redonner à l’organisme ses propres forces de guérison. Ce médecin est une femme qui s’est distinguée très tôt de ses confrères par l’approche globale des traitements qu’elle préconise à ses patients. Le Dr Catherine KOUSMINE a compris qu’il ne pouvait y avoir de résultats réels et durables dans le traitement des maladies de notre époque sans une modification radicale de notre alimentation. Il s’agit en fait d’un retour à l’alimentation saine que nous avons perdue.

Mais si le simple changement d’alimentation permet d’améliorer des troubles fonctionnels peu ancrés dans l’organisme, il ne suffit plus lorsqu’on s’adresse à des maladies graves, évoluant depuis des années. Il faut alors lui associer une série de moyens qui complètent la première démarche. Ces moyens sont simples et logiques et se montrent efficaces à la pratique.
L’ensemble constitue ce qu’on appelle les quatre piliers du traitement du Dr KOUSMINE, ouvrant la voie au cinquième qui est l’immuno-modulation, mais qui ne peut intervenir qu’après plusieurs mois de préparation.

Les 5 Piliers
Premier pilier : une alimentation saine

Beaucoup de maladies de notre époque voient leur accroissement constant en partie à cause des modifications qui sont intervenues dans notre alimentation.

– Certains aliments indispensables au maintien de notre bonne santé ont peu à peu disparu de notre table : céréales complètes, huiles pressées à froid et riches en acides gras insaturés. Il s’est ainsi créé des carences chroniques au niveau de certaines vitamines (vitamines du groupe B, vitamines F) et en oligo-éléments.

– D’autre part, des aliments qu’il n’est indispensable de consommer dans de telles quantités ont vu leur consommation se multiplier : protéines animales, sucre, graisses animales responsables de surcharges et également de carences !
On sait qu’une alimentation trop riche en protéines et en graisses est responsable de stéatorrhée provoquant à long terme une fuite de vitamine B12 et de calcium.

Deuxième pilier : une complémentation en nutriments

La première étape consistait à faire preuve de discernement au niveau de l’alimentation afin de la ré-équilibrer. Mais une alimentation erronée depuis des années a provoqué dans l’organisme des manques importants nécessitant l’apport supplémentaire de diverses vitamines et oligo-éléments. De plus la maladie pousse l’organisme à un besoin plus important de ces éléments pour lutter contre elle. Il faut donc lui apporter un complément de vitamines et d’oligo-éléments qu’une alimentation seule, même assainie, ne peut plus fournir en quantité appropriée.

Troisième pilier : l’hygiène intestinale

Cette alimentation trop riche en sucre et en protéines a modifié la flore normale de l’intestin et a favorisé le développement d’une flore de putréfaction pathogène, agressive pour l’organisme par les toxines qu’elle contient. Cet état a des répercussions sur l’état général et aggrave les maladies de système en favorisant l’emballement du système immunitaire.

Ainsi, chez un sujet malade, la simple correction de l’alimentation ne suffit plus et il faut avoir recours à des lavements rectaux, geste simple et facile qui se montre très efficace. Ce lavement sera suivi d’une instillation de 60 ml d’huile vierge riche en vitamines F.

Quatrième pilier : lutter contre l’acidification anormale de l’organisme

Enfin, le manque chronique de certaines vitamines et de certains oligo-éléments a, à la longue, provoqué une acidification de l’organisme (par blocage des chaînes du catabolisme au niveau de certains acides, ne pouvant aboutir aux produits terminaux par manque de catalyseurs) fragilisant l’organisme et provoquant une fatigue chronique, une plus grande sensibilité aux infections et exacerbant les phénomènes douloureux.

Afin de gagner du temps et d’augmenter l’impact thérapeutique, la prise quotidienne de citrates alcalins sous forme de poudre permet peu à peu de corriger cette acidification tissulaire.

Cinquième pilier : la cure de vaccins

Dans certaines affections particulières, le Dr KOUSMINE a ajouté ce 5ème pilier qui est la cure de vaccins.

Il s’agit d’une technique de déviation des anticorps et d’immuno-modulation douce qui s’avère très efficace pour la stabilisation de certaines pathologies rhumatismales et respiratoires.

Voici schématisée la base indispensable du traitement, qui permet alors d’associer toute autre thérapeutique à visée symptomatique, la rendant beaucoup plus efficace, et permettant d’utiliser des doses plus faibles et un traitement moins long pour un résultat souvent supérieur.
Enlever un seul des 4 piliers, c’est voir la stratégie thérapeutique vouée à l’échec. Les appliquer tous scrupuleusement, c’est augmenter considérablement l’impact de tout traitement associé, c’est raccourcir le temps de la maladie, hâter sa guérison ou sa stabilisation. C’est enfin retrouver un état général et immunitaire qui permet de lutter convenablement contre toute nouvelle agression et d’éviter les rechutes.

Conscience et responsabilité
Il est illusoire de vouloir changer le monde et les autres. Comprendre qu’il faut d’abord se changer est faire preuve de sagesse. Or commencer à mettre de la conscience dans son alimentation est le début d’un changement. C’est se responsabiliser au niveau de sa santé.

Conscience et responsabilité doivent devenir les deux mots d’ordre de notre époque en ce qui concerne notre santé. Cette responsabilité d’abord individuelle par une alimentation saine, une vie saine, la prise de vitamines et d’oligo-éléments aux changements de saisons pour faire contre-poids aux pressions de la vie moderne (stress, pollutions diverses, alimentation non biologique…) deviendra familiale. Enseigner une alimentation saine à ses enfants, qui préservera leur santé dans le présent et l’avenir, c’est mettre de la conscience dans son sentiment. Enfin seulement cette responsabilité pourra être sociale, collective, permettant de corriger certains agresseurs de notre immunité : polluants, herbicides, colorants, conservateurs, toxiques divers.

Il a fallu que la couche d’ozone qui protège la terre soit sérieusement mise en danger par les aérosols divers pour que des mesures soient prises au niveau collectif, en interdisant les dits produits.

Or nous en sommes là au niveau de notre santé : de nouvelles maladies arrivent, les maladies favorisées par un affaiblissement de notre immunité dont une des principales causes est notre comportement général, et dans notre comportement alimentaire en particulier.
Mais l’individu n’est concerné que lorsque un cas de maladie grave touche l’un de ses proches, avec lequel il est affectivement lié… c’est ainsi !
Le message du Dr KOUSMINE est donc d’abord pour le médecin. Il lui est possible de faire du système immunitaire un allié dans le processus curatif plutôt que son ennemi, et d’utiliser l’alimentation comme une arme thérapeutique efficace. Il n’en tient qu’à lui. Cela sera vraisemblablement une évidence dans quelques années. Alors KOUSMINE est venue trop tôt ? Non, mais comme c’est souvent le cas pour ceux qui portent une nouvelle : ils sont peu compris et d’abord combattus.

Source : kousmine.fr

 

La Vitamine D

VitD3

La vitamine D est une vitamine liposoluble (soluble dans les graisses), essentielle à notre vie. Elle intervient en effet, de manière obligatoire dans l’absorption du Calcium dans toutes les cellules de notre corps et plus particulièrement de nos reins, nos os, nos muscles et nos articulations.

Elle intervient également dans l’absorption du Phosphore par nos intestins, permettant ainsi les échanges indispensables entre les membranes de nos cellules et les tissus de notre corps.

Enfin, elle semblerait contribuer de manière active à la protection de notre organisme contre le diabète et certains cancers par une action de réparation de l’ADN sur plus de 200 gènes.

Une quantité suffisante de vitamine D est donc nécessaire à tous les âges : de l’enfance pour éviter le rachitisme à l’âge adulte pour éviter l’ostéomalacie et le risque d’ostéoporose4.

 

Comment faire le plein de vitamine D ?

De deux manières : (1) en s’exposant au soleil et (2) en consommant des aliments riches en vitamine D.

L’exposition au soleil

Le soleil, par l’intermédiaire des UVB, permet de synthétiser de la vitamine D dans la peau. S’exposer l’été permet donc d’engranger suffisamment de cette vitamine, jusqu’à la fin de l’automne. Attention toutefois, s’exposer ne veut pas dire rester au soleil pendant des heures : il s’agit de ne pas faire rougir la peau, jamais (ou alors à peine). Aux beaux jours, s’exposer modérément au soleil chaque jour (durant 10 à 15 minutes) suffit. Au-delà de ce seuil de tolérance, il faut soit se couvrir, soit se mettre à l’ombre, soit mettre de la crème solaire. Attention à être particulièrement vigilant s’il y a du vent car, dans ce cas, la sensation de chaleur qui donne l’impression de cuire au soleil diminue ou disparaît.

 

Consommer des aliments contenant de la vitamine D

Seul problème : peu d’aliments contiennent de la vitamine D. Aucun en grande quantité.*

Les champignons et les végétaux en général, contiennent un peu (très peu) de vitamine D2 (ergocalciférol)

 

Les huiles de poissons, le beurre et, dans une moindre mesure, le lait et les œufs et les poissons gras contiennent un peu de vitamine D3 (cholécalciférol)

La vitamine D existe sous la forme de compléments alimentaires, soit concentré d’huile de foie de poisson, soit à partir de laine de mouton (lanoline), soit sous forme végétale à partir de levure exposée aux UV.

Il est donc recommandé à chacun et plus particulièrement aux enfants et aux femmes ménopausées de penser à se supplémenter en vitamine D durant les mois les plus sombres de l’année (de l’automne jusqu’au début du printemps).

VRAI ou FAUX : Mise au point sur le GLUTEN !…

On a déjà beaucoup dit et beaucoup entendu sur le Gluten. Du pire au plus anodin. Comment faire le tri ? Que faut-il en penser ?

Et si nous en profitions pour faire ensemble une mise au point sur le Gluten, à l’essentiel…

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Sans Gluten

Tout d’abord sachons qu’on ne doit pas parler d’allergie au Gluten (sauf cas rarissime !).

Contrairement à ce que nous entendons trop souvent dire, ce n’est pas notre système immunitaire qui est en jeu. On ne risque donc pas de faire un choc anaphylactique à type de syndrome de Lyell en consommant des aliments contenant du gluten !

Non, on parle plutôt d’intolérance au Gluten qui va se manifester par des pathologies intestinales et/ou extra-intestinales, comme l’arthrite, le diabète de type 2, la fibromyalgie, les migraines, etc…

Comment expliquer ce phénomène ?

Les grains de céréales qui contiennent du gluten (blé, orge, avoine, seigle, kamut, épeautre et triticale) contiennent des glycoprotéines (des protéines « accrochées » à des sucres complexes) qui vont durant la cuisson (du pain, par exemple) se transformer en glycotoxines (dont des oligopeptides acrylamiques). Ces glycotoxines peuvent pénétrer dans les tissus, en raison d’un intestin grêle devenu perméable (qui laisse passer des protéines non digérées) pouvant ainsi contribuer à l’inflammation et à la détérioration de certains tissus, comme les articulations. Nous disposons, de façon naturelle, de nos propres mécanismes enzymatiques qui inhibent et éliminent ces glycotoxines. Toutefois ce mécanisme est plus ou moins efficace d’un individu à l’autre.et certaines personnes auront des dommages tissulaires après avoir consommé sur une longue période des aliments à forte teneur en Gluten.

Pour aller un peu plus loin…

On peut noter qu’il n’y a pas que les produits céréaliers qui contiennent des glycotoxines. On en retrouve un peu dans les viandes trop grillées ou brûlées, les frites, les huiles brûlées ou trop de fois chauffées…

En résumé, si vous ne souffrez pas de troubles inflammatoires ou de maladies auto-immunes, il n’est absolument pas indispensable d’éliminer le Gluten de votre régime alimentaire. On se contentera d’éviter les aliments très (trop !) frits, les croûtes de pain brûlées, et de penser à varier son alimentation en pensant à remplacer de temps en temps le blé par du riz complet, du quinoa, du millet, de la châtaigne, du sarrasin qui contiennent des protéines simples et dépourvues de toute toxicité potentielle.

Pour rester en bonne santé, mangeons varié, équilibré et Bio !…

Attention aux premiers froids !!

 

Depuis quelques semaines et pour encore deux bons mois, les jours raccourcissent à vue d’œil ! L’automne est là et l’hiver arrive. Les frimas, vents froids, temps humides et redoutables courants d’air arrivent à grands pas ! Attention à ces premiers contacts avec le froid car ce sont bien souvent les plus redoutables. En effet, notre corps n’est pas encore préparé tant sur le plan physiologique que sur le plan de l’immunité et donc, patatras, on déclare sa première angine de l’année, sa rhino-pharyngite voire sa bronchite… On est alors malade, et on se fragilise une bonne fois et ce, pour une bonne partie de l’hiver qui vient.

Que faire ? Peut-on anticiper cela et se prémunir un peu mieux face à ces échéances ?

Oui, il est bon de savoir que c’est en ce moment que l’on peut agir efficacement de sorte à se prémunir contre ces premières attaques du froid et leurs conséquences pour notre santé : Comment ? En stimulant notre système immunitaire. La nature met à notre disposition de nombreuses solutions qui vont nous permettre de renforcer nos propres défenses immunitaires.

Ce sont principalement

  1. Faire une cure de probiotiques (lactobacilles)pour renforcer sa muqueuse intestinale. Une étude a ainsi montré que prendre un mélange de lactobacilles, tous les jours pendant 2 semaines, réduit le risque d’attraper un rhume. On les trouve dans les yaourts, à raison de 1 à 2 par jour, ou dans les compléments alimentaires.
  2. Boire un verre de jus d’orange frais chaque jour. Riche en fructose ( un bon sucre naturel), en vitamine C et en potassium le jus d’orange possède un indice glycémique faible. Il sera donc un allié naturel facile et efficace durant l’automne et l’hiver.
  3. Se défatiguer avec le magnésium. Le magnésium est un oligoélément défatigant, indispensable à notre santé. Il est naturellement présent dans les fruits de mer, les poissons et les oléagineux ( noix, noisettes, noix de cajou, noix du brésil, amandes..)
  4. Dormir suffisamment. Une nuit blanche suffit à affaiblir le système immunitaire, car elle réduit le nombre d’une certaine famille de globules blancs. Les médecins recommandent tout de même de dormir au moins 7 à 8 heures.
  5. Pratiquer une activité physique régulière. Un exercice modéré, c’est-à-dire 30 à 60 minutes de marche par jour, la plupart des jours de la semaine, est bénéfique et immunostimulant. Il réduit le risque d’infections respiratoires d’environ 40 %.
  6. Enfin, des plantes et extraits de plantes vont renforcer notre immunité. Le Ginseng(Panax Ginseng). Le ginseng est utilisé notamment en Médecine traditionnelle chinoise comme tonique général, contribuant à l’amélioration d’une foule de fonctions physiologiques, y compris des fonctions immunitaires. La Commission E et l’Organisation mondiale de la Santé reconnaissent les effets toniques du ginseng sur l’organisme des personnes fatiguées ou affaiblies. Par ailleurs, des études tendent à montrer que cette plante serait intéressante pour fournir une meilleure protection contre la grippe et le rhume.

Les Echinacées sont surtout utiles pour réduire légèrement la durée d’un rhume et en atténuer les symptômes. En ce qui concerne la prévention, les études n’apportent pas de réponse claire pour le moment. Certaines indiquent que la prise régulière d’échinacée peut effectivement réduire la fréquence du rhume.
Les produits de la ruches tels que la Gelée Royale ou certains Pollens sont traditionnellement connus pour leurs vertus sur le renforcement de la synthèse de nos défenses immunitaires.

Ainsi, par une alimentation saine bio, variée et équilibrée, avec en outre quelques produits naturels et une bonne hygiène de vie nous devrions passer cet automne et cet hiver en pleine forme et en bonne santé !!…

Soirée Santé : Nouvelles tendances alimentaires

Soirée débat le 19 octobre 2018

Nous vous rappelons que l’Isle Verte organise, chaque 3ème vendredi du mois, une soirée thématique qui s’inspire de l’actualité liée à l’environnement, à la santé ou à la diététique. Ces soirées se déroulent de 20h00 à 21h30, sous la forme d’une présentation, en général assez courte, faite par un spécialiste, suivie d’un débat et d’un temps consacré aux questions et réponses… et avant de nous quitter, un petit cocktail et un verre de l’amitié !

Ainsi ont pu être présentés les mois précédents, des thèmes tels que : « Bio et Santé, Vérités et Contre-Vérités », « Chocolat-Santé et Chocolat-Plaisir », « la Sophrologie c’est quoi ? », « Apports des Médecines Chinoises, »,…

La prochaine aura lieu le 19 Octobre 2018, au magasin l’Isle Verte. Le thème retenu est l’un de ceux qui nous interpelle le plus ces temps derniers au plan de la diététique :

Point sur les Nouvelles Tendances Alimentaires : Véganisme, Végétarisme, Crudivorisme, Flexitarisme,… leurs avantages et leurs inconvénients

Cette soirée-débat sera animée par Sylvie notre nouvelle naturopathe, Philippe notre boss et par … vous-même !

Le nombre de place étant limité (à 40 participants), il est conseillé de vous préinscrire auprès de l’accueil de l’isle Verte…

A bientôt !!!

Gratin de Brocolis à l’emmental

Ingrédients :

  • Brocolis : 800g
  • Emmental râpé : 200g
  • Crème fraîche : 20cl
  • Beurre : 30g
  • Noix de Muscade : 1 pincée
  • Sel
  • Poivre

Préchauffez le four th.8 (240°C).

Divisez les brocolis en petits bouquets. Rincez-les, puis faites-les cuire à l’eau bouillante salée pendant 10 min ou au cuit-vapeur pendant 20 minutes.

Égouttez-les soigneusement.

Dans un bol, mélangez à l’aide d’une fourchette la crème fraîche et le 2/3 du fromage râpé et la noix de muscade râpée. Salez et poivrez à votre convenance.

Beurrez généreusement 4 petits plats à gratin et répartissez-y les petits bouquets de brocolis. Versez la crème au fromage au-dessus et saupoudrez la surface avec le fromage râpé restant.

Enfournez pendant 15 min. La surface doit être bien dorée et gratinée.
Servez chaud dans les plats de cuisson.

 

 

Tarte aux figues et à la poudre d’amandes

Ingrédients :

  • Figues : 8
  • Pâte feuilletée : 1
  • Jaunes d’oeufs : 3
  • Sucre en poudre : 100 g
  • Amandes en poudre : 100 g
  • Beurre : 100 g
  • Farine : 40 g

Travaillez le beurre en pommade avec le sucre en poudre. Ajoutez ensuite les jaunes d’oeufs un à un. Versez la farine et la poudre d’amandes, mélangez bien et réservez au frais.
Préchauffez le four à 180 °C.
Rincez les figues, coupez-les en 2.
Déroulez la pâte feuilletée dans un moule à tarte et piquez le fond avec une fourchette.
Étalez la crème aux amandes et déposez les figues par-dessus.
Enfournez 30 min.
Astuces et conseils pour Tarte aux figues et à la poudre d’amandes
Vous pouvez ajouter un zeste de citron vert râpé sur le dessus avant d’enfourner.